Appel à Communication pour le Colloque International de Yamoussoukro sur les descendants de migrants en Afrique de l’Ouest

Colloque de Yamoussoukro (Côte d’Ivoire)

Thème : « On les appelle « taboussés/taboussis », « dankasa » … les descendants de migrants en Afrique de l’Ouest »

12-14 décembre 2022

APPEL À COMMUNICATION

Argumentaire
Dans l’Ouest africain, les migrations constituent « une donnée socio-économique majeure depuis les conquêtes coloniales ». Il s’agit surtout de migration interne à cette sous-région. Intensifiées dans le contexte colonial, les migrations sous-régionales ont relevé de logiques dans un premier temps de contrainte, puis sont devenues économiques dans le cadre de migration libres de travail. Les pays de l’hinterland (Burkina Faso, Mali, Niger actuels) furent perçus comme un « réservoir » de main-d’œuvre et les pays de la zone côtière (Côte d’Ivoire, Ghana, Sénégal, Nigéria) comme des « îlots de prospérité ». Progressivement, une causalité cumulative, conduit à des migrations circulaires ou définitives. Quelles soient préméditées ou pas, les migrations pluriannuelles, viagères et définitives contribuent à la constitution de diasporas. Le terme diaspora bien qu’accepté par la communauté de chercheurs fait toutefois l’objet de débats épistémologiques et de redéfinitions dans l’espace géographique ouest-africain. En effet, à des degrés divers, tout pays est à la fois un foyer d’émigration et un foyer d’immigration.
L’installation progressive des migrants et de leurs familles dans les pays d’accueil a permis la construction d’importantes communautés diasporiques. Elle s’est faite de différentes manières :
– des migrants en quittant leurs pays d’origine sont partis avec leurs épouses et ont eu des enfants dans le pays d’accueil,
– des migrants, après un séjour dans les pays d’accueil sont allés temporairement dans leurs pays d’origine, y ont contracté des mariages et sont revenus s’installer durablement,
– des migrants ont épousé des femmes autochtones dans les pays d’accueil,
– des descendants de migrants se sont mariés au sein de la communautés diasporiques, etc. De fait des décennies d’immigration dans les pays d’accueil justifient la présence de plusieurs générations d’immigrants et de descendants d’immigrants. Le cas de la Côte d’ivoire est assez emblématique. Grand foyer d’immigration en Afrique de l’Ouest, on note une tendance ascendante du nombre d’immigrés puis depuis les années 1990, une tendance baissière. La forte proportion de non nationaux au sein de la population ivoirienne en fait une singularité ce qui donne lieu à des débats et amalgames. On perd de vue que les descendants de migrants sont nés dans le pays d’accueil de parents, grands-parents ou arrière grands parents immigrés. Quelles que soient les causes de leur immigration, les populations d’origine étrangère ont besoin de s’intégrer. Il en est de même pour leurs descendants. Pour ce faire, elles déploient des stratégies variées sur les plans économique, socioculturel et juridique. En effet, la vie des immigrés oscille de ce fait entre des processus complémentaires ou opposés, notamment :
–     l’intégration ie une adhésion et un partage des valeurs, des logiques qu’une volonté d’appartenir à la communauté d’accueil tout en étant reconnu comme un ensemble homogène;
–     l’assimilation ie se fondre dans la communauté d’accueil en excluant tout particularisme.
Le groupe spécifique des descendants de migrant-e-s est au centre des réflexions de ce colloque dont le thème central est « Les descendants de migrants en Afrique de l’Ouest ».
Des concepts ont été forgés dans les langues nationales, tant au niveau des communautés d’origine des migrants, des communautés diasporiques qu’au niveau des communautés d’accueil, pour désigner les descendants de migrants. Ce sont par exemples, les termes, « taboussés/taboussis », « dankasa »… dont l’histoire mérite des analyses.
Dans la mise en œuvre des migrations transnationales, des mécanismes et des valeurs transgénérationnelles ont, par ailleurs, été expérimentés. L’intégration des descendants de migrants a des enjeux singuliers. Nés dans le pays d’immigration de leurs parents, ils vivent une sorte d’entre-deux. Ils sont à la fois d’ici (pays d’accueil) et d’ailleurs (pays d’origine). Cette situation est davantage renforcée lorsque l’un de leurs parents est ressortissant du pays d’accueil. C’est le cas au Ghana des « dankasa », terme haoussa désignant les descendants d’immigrants nés de mères ghanéennes. L’Afrique de l’Ouest étant une grande zone de migrations intrarégionales et de brassage de populations, les pays de la région, à des degrés divers, abritent des descendants de migrants. La Côte d’Ivoire, le Ghana, le Sénégal, le Nigéria, le Burkina Faso et le Mali sont des exemples de pays fortement impactés par la réalité des descendants de migrants. Cependant, des études sur ce groupe spécifique sont peu nombreuses.
Une question fondamentale se pose alors au sujet de l’intégration des descendants de migrants : Combien de générations d’enfants de migrants doivent encore être considérées dans les effectifs de population immigrée, alors qu’on ne nait évidemment pas « immigré » ? Dans les pays d’accueil, les descendants de migrants constituent une frange de plus en plus importante de la population. Cela représente une évolution démographique fondamentale dans les pays d’immigration. De par leur statut juridique, les descendants de migrants se répartissent entre nationaux des pays d’accueil et ceux des pays d’origine. Ces derniers rentrent temporairement ou définitivement dans leurs pays d’origine pour des raisons diverses. Le Burkina Faso, par exemple, accueille depuis des décennies de manière croissante en provenance de la Côte d’Ivoire plusieurs milliers de descendants de migrants en quête d’inscriptions dans les universités publiques.
Une véritable reconstruction identitaire s’effectue alors dans le pays d’accueil, chez les migrants et plus encore chez leurs descendants. A des degrés divers, ces derniers entretiennent à la fois un lien avec le pays de naissance et celui d’origine, vivant donc dans une « double inscription ». Certains descendants de migrants sont en rupture progressive de liens avec leurs pays d’origine. Ils sont alors dans des logiques avancées d’intégration et d’assimilation. Des enjeux socioculturels, économiques, juridiques et politiques existent chez les descendants de migrants dans un contexte de revendications diverses et de déni identitaire dans les pays d’accueil et d’origine.
Dans la dynamique du transnationalisme dans l’étude des migrations, les communications pourraient aborder la thématique du colloque à partir des symboles d’appartenances, les logiques de mobilités, les représentations des territoires, des frontières et des états-nations d’origine et l’influence des communautés.

Axes de réflexion 
Les axes majeurs suivant lesquels les communications devront être proposés sont les suivants :
Axe 1 : L’intégration socioéconomique et culturelle des premières générations de descendants de migrants et la problématique du « retour au pays »
Axe 2 : Les questions de la nationalité/citoyenneté des descendants de migrants, leurs engagements politiques et de l’apatridie
Axe 3 : Les constructions identitaires et les sentiments d’appartenance chez les descendants de migrants : être d’ici et là-bas.  

Institutions organisatrices :
Le colloque est organisé par la Fondation Félix Houphouët Boigny pour la Recherche de la Paix avec des universités partenaires : Université Félix Houphouët-Boigny, Université de Ouagadougou Joseph Ki-Zerbo, Université du Québec à Montréal.

Participants ciblés
Divers profils de participants sont attendus à ce colloque. Ce sont particulièrement, les enseignants-chercheurs des universités, les chercheurs des institutions de recherche, les doctorants. Hormis le monde de l’enseignement supérieur et de la recherche, des participants sont attendus du milieu des experts en matière de migrations, des institutions internationales, des ONG, du monde politique et des institutions gouvernementales, etc.

Langues de travail
La langue de travail lors du colloque est le français. Cependant, des communications en anglais sont acceptées.

Comité scientifique:
Président
Pr. MANDÉ Issiaka, Département science politique, UQAM, Montréal, Canada.

Membres
Pr. BANTENGA Moussa Willy, historien, Université Joseph Ki-Zerbo, Ouagadougou, Burkina Faso.
Dr. M. C. CISSÉ Chikouna, historien, Université Félix Houphouët Boigny, Abidjan, Côte d’Ivoire.
Pr. LOUCOU Jean Noël, historien, Université Félix Houphouët Boigny, Abidjan, Côte d’Ivoire. Pr. NDIAYE Ndeye Dieynaba, juriste, Département des sciences juridiques, UQAM, Montréal, Canada.
Dr. SERHAN Nasser, Géographe, Université Félix Houphouët Boigny, Abidjan, Côte d’Ivoire.
Pr. PICHÉ Victor, Professeur honoraire, Université de Montréal, Montréal, Canada.
Dr. M. C. PARÉ Moussa, historien, Université Félix Houphouët-Boigny, Abidjan, Côte d’Ivoire.
Dr. M. C. SAWADOGO Boukary Mathias, historien, Université Félix Houphouët-Boigny, Abidjan, Côte d’Ivoire.
Dr. M. C. SAWADOGO Mahamadou, sociologue, Université Joseph Ki-Zerbo, Ouagadougou, Burkina Faso.
Dr. SOUKOUNA Sadio, politologue, UQAM, Montréal, Canada.

Secrétariat du comité  
Dr. M. A. OUEDRAOGO Serge Noël, historien, Université Joseph KI-ZERBO, Ouagadougou, Burkina Faso.
Dr. KABORÉ Adama, Abidjan, Côte d’Ivoire.

Comité d’organisation  

Président :
Dr. M. C. PARÉ Moussa, historien, Université Félix Houphouët-Boigny, Abidjan, Côte d’Ivoire.

Membres
Dr. M. C. CISSÉ Chikouna, historien, Université Félix Houphouët Boigny, Abidjan, Côte d’Ivoire.
Dr. M. C. SAWADOGO Boukary Mathias, historien, Université Félix Houphouët-Boigny, Abidjan, Côte d’Ivoire.
Dr. M. A. OUEDRAOGO Serge Noël, historien, Université Joseph KI-ZERBO, Ouagadougou, Burkina Faso.
Dr. KABORÉ Adama, Abidjan, Côte d’Ivoire.

Modalités de soumission
Les propositions de communication devront comporter un titre, le nom et le prénom, la fonction, l’adresse électronique, le numéro de téléphone, l’affiliation institutionnelle de /des auteur(s) et un résumé (en français et en anglais) de 250 mots au maximum, présentant la problématique du sujet, le cadre théorique et méthodologique et des mots clés (maximum 5). Les résumés et articles, rédigés à la police Times New Roman, interligne 1,5, doivent être envoyés sous format Word à l’adresse suivante : colloquedescendantsdemigrants@gmail.com.

Dates pratiques
–  30 Juillet 2022 : Date limite de réception des propositions de communications
–  15 Août 2022 : Réponse aux contributeurs/confirmation de participation au colloque
–  30 Octobre 2022 : Date limite d’envoi des articles rédigés
–  12 Décembre 2022 : Tenue du colloque
–   28 Février 2023 : Envoi des articles réaménagés
–   30 Mai 2023 : Publication des actes du Colloque.

Eléments de bibliographie
AL-ALI, N. and KOSER K., 2001, New Approaches to Migration? : Transnational Communities and the Transformation of Home, Taylor & Francis Group.
ASIWAJU, A. I., 1976, « Migrations as Revolt : The Example of the Ivory Coast and the Upper Volta before 1945 » in Journal of African History, vol. 17, n° 4, pp. 577-594.
BANTENGA M. W., 1996-1997, « De la connaissance de l’originalité démographique du pays moaaga à la mobilisation des populations dans le cadre des politiques coloniales (1888-1937) » in Science et Technique, vol. 22, n° 2, pp. 9-20.

BOUQUET C., 2003, Le poids des étrangers en Côte d’Ivoire / The importance of foreigners in Ivory Coast in Annales de Géographie, t. 112, n° 630, pp. 115-145.  
BREDELOUP. S., 2004, « La Côte d’Ivoire ou l’étrange destin de l’étranger » in Revue européenne des migrations internationales, 19 (2), pp. 1-26.
CISSÉ C., 2013, Migrations et mise en valeur de la Basse Côte d’Ivoire (1920-1960), Les forçats ouest- africains dans les bagnes éburnéens, Paris, L’Harmattan, 311 p.
COLEMAN S. and MAIER K. « In, Of, and Beyond Diaspora ?: Mapping, Migration, and the Production of Space among Nigerian Pentecostals » in Diaspora : A Journal of Transnational Studies, vol. 19 n°. 1, 2010, p. 9-31. Project MUSE muse.jhu.edu/article/640334. COQUERY-VIDROVITCH, C., GOERG, O., MANDÉ, I. & RAJAONAH, F. V. (2003). Être étranger et migrant en Afrique au XXe siècle: Enjeux identitaires et modes d’insertion. Paris: L’Harmattan.
FAIST T. et al., 2011, The Migration-Development Nexus : A Transnational Perspective. Palgrave Macmillan.
FALL D., and FENEYROL O., 2011, Quelle protection pour les enfants concernés par la mobilité en Afrique de l’Ouest ? : nos positions et recommandations. s.n.
FARMA G., 2017-2018, L’entre-deux des descendants de migrants burkinabè en Côte d’Ivoire : Retour et intégration des étudiants « diaspos » dans le milieu universitaire au Burkina Faso, Master en médiation culturelle, Université de Lille 3, 149 p.
HILLMANN F. et al., editors, 2019, Trajectories and Imaginaries in Migration : The Migrant Actor in Transnational Space. Routledge.
http://www.ladocumentationfrancaise.fr/dossiers/d000073-immigration-et-politique- migratoire-en-france /immigres-assimilation-integration-insertion-quelques-definitions.
KABORÉ A., 2021, Mise en perspective historique des mutations migratoires voltaïques/burkinabè en Côte d’Ivoire (1960-2002), Thèse de doctorat unique, Histoire, UFHB, 421 p.
KIPRÉ P., 2010, Migrations en Afrique noire : La construction des identités nationales et la question des étrangers, Abidjan, Éditions du CERAP, 160 p.
MANDÉ I., 1995, « Les migrations de travail des Voltaïques, une panacée pour l’économie ivoirienne de 1919 à 1960 » in MASSA G. et MADIÉGA Y. G. (sous dir.), La Haute-Volta coloniale, témoignages, recherches, regards, Paris, Khartala, pp. 313-339.
KLEIS N. and THORSEN D., 2017, Hope and Uncertainty in Contemporary African Migration, Routledge.
OUÉDRAOGO S. N., 2019, « Le dilemme de la nationalité chez les Burkinabè au Ghana » in BREDELOUP S., DEGORCE A. et PALE A. (sous dir.), Se chercher en migration, Expériences burkinabè, Paris, L’Harmattan, pp. 77-97.
PICHÉ V. et CORDELL D. D., 2015, Entre le mil et le franc. Un siècle de migration circulaire en Afrique de l’Ouest. Le cas du Burkina Faso, Montréal, Presses de l’Université du Québec, Collection Les sociétés africaines en mutation, 406 p.
ROUCH J., 1956, « Migrations au Ghana » in Journal de la Société des Africanistes, tome 26, pp. 33-196.
SADOUNI S. and GAZIBO M., 2020, Migrations et gouvernance en Afrique et ailleurs, ed. Presses de l’Université du Québec, Project MUSE muse.jhu.edu/book/78362.
SAHOO A. K. and BRIJ M., 2007, Sociology of Diaspora : A Reader, Rawat Publications. SCHMOLL C., 2021, « L’approche transnationale dans les études migratoires. Retour sur 30 ans de travaux » in SIMONNEAU D. (dir.), Dossier « Vivre le transnational. Ancrages et circulations en débat », De facto [En ligne], 28 | Octobre 2021, mis en ligne le 25 octobre 2021. URL : https://www.icmigrations.cnrs.fr/2021/09/15/defacto-028-01/
TOUNKARA D. G., 2010, « Cinquante ans de politiques de la nationalité en Côte d’Ivoire », in Outre-mers, Tome 97, n°368/369, pp. 159-175.  
YODA H., 2019, Les colons d’origine voltaïque des villages de colonisation de la région de la Marahoue (Bouaflé et Zouénoula) : Entre immigration et intégration de 1933 à 2010, Thèse de doctorat unique, Histoire, UFHB, 554 p.
ZONGO M., 2003, « La diaspora burkinabè en Côte d’ivoire: trajectoire historique, recomposition des dynamiques migratoires et rapport avec le pays d’origine » in Revue africaine de sociologie, 7(2), pp. 58-72.
ZONGO M., 2016, « La diaspora burkinabè en Côte d’Ivoire : entre vulnérabilité et quête d’appartenance » in BREDELOUP S. et ZONGO M. (dir.), Repenser les mobilités burkinabè, Collection Études africaines, Paris, L’Harmattan, pp. 37-66.Téléchargez le fichier PDF

Séminaire de formation des membres de l’AEEMCI de la région du Bélier

Séminaire de formation des membres de l’Association des Elèves et Etudiants Musulmans de Côte d’Ivoire (AEEMCI) de la région du Bélier sur le thème : « Education aux valeurs de la culture de la paix, initiatives citoyennes et leadership des jeunes dans une société réconciliée et apaisée » les 24 et 25 mars 2022 au siège de la Fondation FHB à Yamoussoukro.

PROGRAMME DES ACTIVITES DE LA FONDATION FHB POUR L’ANNEE 2022

MARS 2022
Séminaire de formation du personnel de la Fondation sur le thème : « Formation à la culture de la paix par l’exemplarité »
– les 24 et 25 mars 2022Séminaire de formation des membres de l’Association des Elèves et Etudiants Musulmans de Côte d’Ivoire (AEEMCI) de la région du Bélier, sur le thème : « Education aux valeurs de la culture de la paix, initiatives citoyennes et leadership des jeunes dans une société réconciliée et apaisée ».

AVRIL 2022
– 7 avril 2022: Séminaire de formation des Messagers de la paix du lycée moderne Coffi Gadeau de Tiébissou sur le thème : « Mobilisation des élèves autour des valeurs de la culture de la paix pour un environnement scolaire apaisé ».
– Séminaire de formation des Conseillers municipaux de Béttié sur le thème : « La culture de la paix, la citoyenneté démocratique et la compréhension mutuelle dans une société réconciliée ».
– Séminaire de formation des jeunes leaders des associations et des partis politiques de la commune de Béttié sur le thème : « Formation des jeunes au civisme, à la citoyenneté et à la culture de la paix ».

– Du 27 au 29 avril 2022: Séminaire de formation des photographes membres de la Centrale Syndicale Humanisme du District autonome de Yamoussoukro, sur le thème : « Formation des photographes à la réconciliation et à la culture de la paix »
– Campagne de sensibilisation à la non-violence, au pardon et à la cohésion sociale en direction des leaders d’opinion, des présidentes d’organisations féminines et des présidents de jeunesse du département de Toulepleu.
– Du 13 avril au 18 mai 2022: Concours Ivoironie des Lycées (Parrainage de la Fondation FHB)

MAI 2022
– Séminaire de formation en direction de la jeunesse de la Marahoué (Bouaflé) sur le thème : « Engagement citoyen des jeunes, diversité, compréhension mutuelle et culture de la paix dans une société réconciliée »

JUIN 2022
– Campagne de sensibilisation à la non-violence, au pardon et à la cohésion sociale dans le département de Taï
– Séminaire de formation des membres des syndicats et associations professionnels du transport routier (RENABEC), sur le thème : « Civisme, dialogue social, valeurs de paix et leadership pour un transport de qualité dans une société réconciliée »
– Visite d’étude des étudiants de science politique de l’Université Alassane Ouattara de Bouaké : formation à la culture de la paix et visite de la Fondation FHB
– Ecole Doctorale Itinérante  (Institut de recherche sur le Maghreb contemporain en partenariat avec l’Université Félix Houphouët-Boigny et la Fondation FHB)

JUILLET 2022
– Séminaire de formation des membres des Clubs de paix des universités et grandes écoles de Côte d’Ivoire, sur le thème : « S’outiller pour bien parler de la culture de la paix en milieu universitaire »

AOUT 2022
Du 16 au 22 août 2022 : 4ème édition du Forum Interreligieux Interculturel Jeunesse pour l’Avenir (FIIJA), sur le thème : « Entreprendre la Paix : Renforcement de capacités des Jeunes Promoteurs de la Paix en management de la paix et financement de projets », en direction de 200 jeunes promoteurs de la paix de différents pays africains.

SEPTEMBRE 2022
– Campagne de sensibilisation à la non-violence, au pardon et à la cohésion sociale dans le département de Bloléquin
– 21 septembre 2022 : Journée internationale de la paix
– Colloque  sur le thème: « Vingt ans après la guerre en Côte d’Ivoire : penser la crise en temps de paix », organisé par le Groupe de Recherche des Stratégistes de Côte d’Ivoire (GRESCI) et l’Université Félix Houphouët-Boigny en collaboration avec la Fondation Félix Houphouët-Boigny et l’Institut de recherche stratégique de l’Ecole Militaire (IRSEM)

OCTOBRE 2022
– Du 15 au 17 Octobre 2022: Colloque international sur le thème : «l’Afrique dans les relations internationales» en hommage au Professeur Kouassi Yao co-organisé par les départements d’histoire de l’université Félix Houphouët-Boigny, de l’université Alassane Ouattara et la Fondation FHB
– Les 18 et 19 octobre 2022: Célébration du Jour Anniversaire de la Naissance de Félix Houphouët-Boigny avec la Remise du Prix de la recherche Félix Houphouët-Boigny 2022 (4è édition) et la Dédicace des ouvrages des Editions F.H.B
– Du 18 au 21 octobre 2022: Colloque International sur l’Intégration Africaine  co-organisé par l’Institut Universitaire de Yamoussoukro, l’Association des professeurs de philosophie et la Fondation FHB

NOVEMBRE 2022
– Les 11 et 12 novembre 2022: Africa Foundations Awards: Cérémonie de remise des Awards aux lauréats de la deuxième édition, avec le parrainage de la Fondation FHB.
– 15 novembre 2022: Journée Nationale de la Paix
– les 25 et 26 novembre 2022: Séminaire International sur le thème: « les enfants des immigrés » co-organisé par la Fondation FHB.
– 3ème édition du Festival des Arts de la Rue d’Assinie (FARA) sur le thème : « Engagement citoyen » avec des artistes provenant de différents pays

DECEMBRE 2022
– 7 décembre 2022 : Célébration du Jour Anniversaire du Décès de Félix Houphouët-Boigny avec une messe d’action de grâce en la Basilique Notre-Dame de la Paix de Yamoussoukro

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Cérémonie de remise de don au Centre Mié-N’Gou – 28 02 2020

Le vendredi 28 février 2020, une délégation de la Fondation Félix Houphouët-Boigny pour la recherche de la paix (Fondation FHB), avec à sa tête son Secrétaire Général, Professeur Jean-Noël LOUCOU, a procédé à la cérémonie de remise de don d’un montant de deux (2) millions de francs CFA au Centre Mié-N’Gou de rééducation fonctionnelle de Yamoussoukro, grâce à un appui financier de la Loterie Nationale de Côte d’Ivoire (LONACI). Ce don permettra au centre créé par le président Félix Houphouët-Boigny en 1978, d’effectuer les travaux de réhabilitation les plus urgents de ses bâtiments.

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Cérémonie de Remise de Don au Centre Mié-N’Gou – Photos

Le vendredi 28 février 2020, la Fondation Félix Houphouët-Boigny pour la recherche de la paix, avec à sa tête son Secrétaire Général, Professeur Jean-Noël LOUCOU, a procédé à la remise d’un montant de 2 millions de francs CFA au centre Mié N’Gou de rééducation fonctionnelle de Yamoussoukro, grâce à l’appui financier de la Loterie Nationale de Côte d’Ivoire LONACI. Ce don permettra au centre créé par le président Félix Houphouët-Boigny en 1978, d’effectuer des travaux de réhabilitation les plus urgents de ses bâtiments. Cette action sociale vise à pérenniser l’œuvre de l’Apôtre de la paix.

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Célébration de la Journée Mondiale de Radio 2020: la Table Ronde – 13 02 2020

 Le Réseau Ouest Africain de Lutte contre l’Immigration Clandestine (REALIC) a célébré l’édition 2020 de la Journée Mondiale de la Radio à Yamoussoukro, les 12 et 13 février 2020, sous le thème : « la contribution des jeunes et des médias locaux dans la lutte contre l’immigration clandestine ».

En collaboration avec l’Organisation du Conseil des Jeunes de l’Entente (OCJE), la Fondation Friedrich Ebert et la Fondation Félix Houphouët-Boigny pour la Recherche de la Paix (Fondation FHB), le REALIC a organisé une table ronde avec les leaders de jeunes et les acteurs des médias locaux. C’est le siège de la Fondation FHB à Yamoussoukro qui a abrité, le jeudi 13 février cette table ronde autour de deux thématiques : « jeunes et migration irrégulière en Côte d’Ivoire, rôle de la radio dans la lutte » et « jeunesse et promotion de la culture de la paix en période électorale ».

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Célébration de la Journée Mondiale de la Radio 2020 : l’Émission Publique – 12 02 2020

Dans le cadre de ses activités de sensibilisation de proximité sur le terrain, le Réseau Ouest Africain de Lutte contre l’Immigration Clandestine (REALIC), a organisé, en collaboration avec l’Organisation du Conseil des Jeunes de l’Entente (OCJE), la Fondation Friedrich Ebert et la Fondation Félix Houphouët-Boigny pour la Recherche de la Paix (Fondation FHB), la célébration de l’édition 2020 de la Journée Mondiale de la Radio. Cette célébration s’est déroulée, les 12 et 13 février à Yamoussoukro, la capitale politique de la Côte d’Ivoire. Elle s’est articulée autour de deux thématiques, à savoir : « jeunes et migration irrégulière en Côte d’Ivoire, rôle de la radio dans la lutte » et « jeunesse et promotion de la culture de la paix en période électorale ».

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Journée d’Étude en Hommage au Président Auguste Denise – 30 11 2019

Le samedi 30 novembre 2019, s’est tenue à Yamoussoukro une journée d’étude en hommage au Président Auguste Denise. Organisée par la Fondation Félix Houphouët-Boigny pour la recherche de la paix (Fondation FHB), cette rencontre scientifique qui a réuni des hommes politiques, des universitaires, des étudiants, des personnalités de la société civile avec la présence fort remarquée de la famille du Président Auguste Denise célébré. C’était une occasion de pérenniser la mémoire de cet homme d’état ivoirien et compagnon de route du Président Félix Houphouët-Boigny. Cette célébration s’inscrit dans une politique globale d’immortalisation des anciens collaborateurs du premier Président de la République de Côte d’Ivoire, dont les mérites ne sont pas suffisamment mis en évidence.

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Atelier de Formation et d’Échanges des Jeunes sur le Dialogue Interreligieux et Interculturel en Côte d’Ivoire – 28 11 2019

Les 28 et 29 novembre 2019 s’est tenu un atelier de formation sur le thème : « Contribution de la jeunesse pour la promotion de la culture de la paix, de la non-violence et de la prévention de l’extrémisme religieux » organisé par la Fondation Félix Houphouët-Boigny pour la recherche de la paix (Fondation FHB) en coopération avec l’Institut Afrique Monde (IAM).
Cet atelier a regroupé quarante jeunes leaders de dix sept organisations et associations confessionnelles et universitaires. Il avait pour objectif d’équiper les participants d’outils adéquats pour la promotion de la paix et de la cohésion sociale en Côte d’Ivoire.

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Atelier de Formation et d’Échanges des Leaders Religieux sur Le Dialogue Interreligieux Et Interculturel en Côte d’ivoire – 26 11 2019

Il s’est tenu à Yamoussoukro du 26 au 27 novembre 2019 un atelier de formation et d’échanges sur le dialogue interreligieux et interculturel en Côte d’Ivoire organisé par la Fondation Félix Houphouët-Boigny pour la recherche de la paix (Fondation FHB) en partenariat avec l’Institut Afrique Monde (IAM) en direction des leaders religieux. Il avait réuni une quarantaine de leaders chrétiens et musulmans autour du thème: « Contribution des leaders religieux pour la promotion de la culture de la paix, de la non-violence et de la prévention de l’extrémisme religieux en Côte d’Ivoire ».

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