Le samedi 30 novembre 2019, s’est tenue à Yamoussoukro une journée d’étude en hommage au Président Auguste Denise. Organisée par la Fondation Félix Houphouët-Boigny pour la recherche de la paix (Fondation FHB), cette rencontre scientifique qui a réuni des hommes politiques, des universitaires, des étudiants, des personnalités de la société civile avec la présence fort remarquée de la famille du Président Auguste Denise célébré. C’était une occasion de pérenniser la mémoire de cet homme d’état ivoirien et compagnon de route du Président Félix Houphouët-Boigny. Cette célébration s’inscrit dans une politique globale d’immortalisation des anciens collaborateurs du premier Président de la République de Côte d’Ivoire, dont les mérites ne sont pas suffisamment mis en évidence.
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Atelier de Formation et d’Échanges des Jeunes sur le Dialogue Interreligieux et Interculturel en Côte d’Ivoire – 28 11 2019
Les 28 et 29 novembre 2019 s’est tenu un atelier de formation sur le thème : « Contribution de la jeunesse pour la promotion de la culture de la paix, de la non-violence et de la prévention de l’extrémisme religieux » organisé par la Fondation Félix Houphouët-Boigny pour la recherche de la paix (Fondation FHB) en coopération avec l’Institut Afrique Monde (IAM).
Cet atelier a regroupé quarante jeunes leaders de dix sept organisations et associations confessionnelles et universitaires. Il avait pour objectif d’équiper les participants d’outils adéquats pour la promotion de la paix et de la cohésion sociale en Côte d’Ivoire.
Atelier de Formation et d’Échanges des Leaders Religieux sur Le Dialogue Interreligieux Et Interculturel en Côte d’ivoire – 26 11 2019
Il s’est tenu à Yamoussoukro du 26 au 27 novembre 2019 un atelier de formation et d’échanges sur le dialogue interreligieux et interculturel en Côte d’Ivoire organisé par la Fondation Félix Houphouët-Boigny pour la recherche de la paix (Fondation FHB) en partenariat avec l’Institut Afrique Monde (IAM) en direction des leaders religieux. Il avait réuni une quarantaine de leaders chrétiens et musulmans autour du thème: « Contribution des leaders religieux pour la promotion de la culture de la paix, de la non-violence et de la prévention de l’extrémisme religieux en Côte d’Ivoire ».
Vernissage de l’Exposition sur le train d’Abidjan à Ouagadougou – 25 11 2019
Le 25 novembre 2019 a eu lieu le vernissage de l’exposition photographique sur le thème: « le train d’Abidjan à Ouagadougou: 1898-1958 » à la Fondation Félix Houphouët-Boigny pour la recherche (Fondation FHB). Cette exposition fut organisée par l’association « Images et Mémoires » en partenariat avec la Fondation FHB, le département d’Histoire de l’Université Félix Houphouët-Boigny et l’Institut d’Histoire, d’Art et d’Archéologie Africains (IHAAA). Elle visait à sensibiliser à la participation active de la Côte d’Ivoire dans la mise en œuvre du chemin de fer de 1898 à 1958. Des photos illustrant la vision du chemin de fer, l’école du chemin de fer du génie, les terrassements, le parachèvement et la pose de la voie ont marqué cette exposition.
La Fondation FHB doublement primée à la première édition de « African Foundations Awards » (AFA)
La 1ère édition de « African Foundations Awards » (AFA), organisée par l’agence Africa Event, a eu lieu le samedi 16 novembre 2019, à la salle de conférence de CRRAE-UMOA, à Abidjan-Plateau.
Doudou Stevens Cissé, Directeur Exécutif de Africa Event, a profité de l’occasion pour décliner les motivations de cet événement : « Longtemps, les fondations et associations ont été confondues car toutes deux sont dédiées à l’intérêt général à but non lucratif. Aujourd’hui leurs caractéristiques sont très différentes. Alors qu’une association est le regroupement de plusieurs personnes avec la volonté d’agir ensemble autour d’un objectif commun, une fondation existe par l’affectation irrévocable de biens pour la réalisation d’une œuvre d’intérêt général. Une fondation, c’est de l’argent privé mis à la disposition d’une cause publique. Si toutes deux sont nécessairement sans but lucratif, l’association peut défendre les intérêts d’un groupe organisé : anciens élèves d’une école, défenseurs de l’environnement, alors que la fondation est une association dédiée à l’intérêt général. La tutelle de l’État est là comme garant de l’utilité publique. L’association disparaît avec la dispersion de ses membres alors que la fondation peut survivre. La gouvernance est très différente. Une association a, par nature, un fonctionnement démocratique, les décisions sont prises par l’assemblée générale au cours de laquelle chaque membre possède une voix, alors que la fondation a une gouvernance basée sur un conseil d’administration qui prend les décisions ».
16 fondations primées plus 3 prix spéciaux
Cette cérémonie a été également l’occasion de primer 16 fondations pour leurs nombreux efforts en faveur de l’amélioration du quotidien des populations. Entre autres, la Fondation Félix Houphouët-Boigny pour la recherche de la paix qui s’est vue attribuer le super prix AFA et le prix pour la paix, la fondation Magic System récompensée par le prix pour l’éducation et la fondation Amadou Hampâté Ba qui est repartie avec celui du patrimoine culturel africain. À côté de ces récompenses, des prix spéciaux ont aussi été attribués aux fondations Children of Africa (dirigée par la première dame de Côte d’Ivoire, Dominique Ouattara), Congo Assistance et Servir le Sénégal.
À en croire la présidente du jury, Makani Diaby, 1ère vice-présidente du Sénat, ces Awards ont été décernés selon les critères suivants : « Être une fondation. Avoir au moins 3 ans d’existence au 30 janvier 2019. Être en activité sur le continent africain ou dans la diaspora africaine . Avoir un site internet fonctionnel, avoir déjà réalisé des actions de qualité sur le terrain, ayant un impact durable sur les bénéficiaires. Être proposé par le comité d’organisation, les associations, les médias ou une tierce personne comme fondation ».
Animant la conférence inaugurale de la 1ère édition de « Africa Foundations Awards » sur le thème : « Fondations africaines, perspectives et impacts sur le continent africain », Pr Aliou Mané, président de l’Université Atlantique, a souligné l’ »impérieuse » nécessité de légiférer uniquement pour les fondations. Pour lui, cette nécessité de créer un cadre juridique spécifique aux fondations réside dans le rôle qu’elles jouent dans le développement socio-économique des pays.
« De nombreux établissements scolaires, sanitaires que nous rencontrons dans les zones enclavées ont été édifiés et font l’objet d’attention soutenue de la part des fondations d’une manière générale. Si les fondations n’existaient pas, il aurait fallu les inventer. Heureusement qu’à l’instar de leurs homologues de l’hémisphère nord, de nombreuses fondations africaines ou installées en Afrique continuent de soutenir l’action publique. Qu’il s’agisse de créer des institutions bancaires, des compagnies pétrolières, d’électricité, de téléphonie cellulaire, initiées par des personnalités publiques ou privées, les fondations agissent » a-t-il soutenu.
Pour lui, les enjeux du développement, la spécificité des problèmes selon les régions et les secteurs de la population concernée, commandent que les ONG et associations prennent en main la formation du personnel d’encadrement et celui de gestion des activités quotidiennes. « Il faut que le personnel d’encadrement et celui de l’exécution des fondations soient encadrés pour faire en sorte que la destination des fonds qui sont mis à leur disposition soit une destination efficace et que l’argent ne se volatilise pas en cours de route. La qualification des agents chargés de repérer, d’identifier, d’évaluer et d’exécuter les tâches d’accompagnement matériel et financier est à la base essentielle du succès de leurs actions ». À en croire l’universitaire, cela évitera les déperditions constatées dans la gestion de l’administration des fondations et dans l’identification des destinations des apports en matériel et en finance. La deuxième conférence a été animée par Diabaté Fatoumata, Secrétaire exécutive adjointe, Conseiller DG Lonaci sur le thème : « Thème : Fondations, actions sociales et le bien-être des populations africaines »
JOURNÉES COMMÉMORATIVES DU JOUR DE NAISSANCE DU PRÉSIDENT FÉLIX HOUPHOUËT-BOIGNY: Dîner Gala – 18 10 2019
Au terme des journées commémoratives du jour de naissance du président Félix Houphouët-Boigny, les lauréats de la deuxième édition du Prix Félix Houphouët-Boigny de la recherche furent primés dans la soirée du vendredi 18 octobre 2019, au cours d’un dîner gala offert par la Fondation Félix Houphouët-Boigny pour la recherche de la paix (Fondation FHB). Ce prix récompense chaque année les meilleurs travaux de recherche ayant trait au président Félix Houphouët-Boigny. Cette cérémonie de remise de prix s’est déroulée avec la présence effective de Mme Henriette Konan Bédié, épouse du président du PDCI-RDA et de la sénatrice Mme Makani Diaby, 1ère vice-présidente du Sénat, qui représentait le président de ladite institution.
JOURNÉES COMMÉMORATIVES DU JOUR DE NAISSANCE DU PRÉSIDENT FÉLIX HOUPHOUËT-BOIGNY: Cérémonie de dédicace – 18 10 2019
Dans L’après-midi du vendredi 18 octobre 2019, une cérémonie de dédicace d’ouvrages édités par les Éditions de la Fondation Félix Houphouët-Boigny (Éditions FHB) et/ou portant sur « le père de la nation ivoirienne » a été organisée à la Fondation Félix Houphouët-Boigny pour la recherche de la paix (Fondation FHB). Plusieurs auteurs ont participé à cette cérémonie de dédicace. Il s’agit de Professeur Amani N’Goran, auteur de l’ouvrage « le psychodrame œdipien – enjeu psychodynamique du jeu de Football« , Professeur Frédéric Grah Mel qui a présenté « La Biographie de Félix Houphouët-Boigny » (trois tomes), Mme Sophie Koné Boating avec la bande dessinée « Félix Houphouët-Boigny », Professeur Thot’o Amani Sroboua pour « Les Akhan et l’Égypte pharaonique », Professeur Ferdinand TIONA OUATTARA pour « Histoire de l’Institut d’Histoire, d’Art et d’Archéologie Africains (IHAAA) de l’Université Félix Houphouët-Boigny de Côte d’Ivoire (1969-2017) », M. Jérôme Kouakou Ya pour « Les hommages publics à Félix Houphouët-Boigny », et Professeur Jean-Noël Loucou avec les six tomes de « Discours et Messages ».
En présence d’un public très varié et composé en grande partie d’universitaires, le Secrétaire Général de la Fondation FHB a annoncé la publication de cinq nouveaux ouvrages sur « le bélier de Yamoussoukro » en 2020 dont les Actes du colloque international sur son œuvre de paix. Il en a profité pour inviter les Ivoiriens à acheter les ouvrages sur la vie du « Sage de l’Afrique », car jusque-là, ce ne sont que trois milles exemplaires de « Discours et Messages » et seulement mille exemplaires des Actes du colloque sur la « pensée politique de Félix Houphouët-Boigny » qui ont été écoulés.
Après avoir pris la parole successivement pour éclairer le public présent sur les contenus de leurs œuvres, les auteurs ont procédé à la dédicace proprement dite.
JOURNÉES COMMÉMORATIVES DU JOUR DE NAISSANCE DU PRÉSIDENT FÉLIX HOUPHOUËT-BOIGNY: Messe d’action de grâce – 18 10 2019
La Fondation Félix Houphouët-Boigny pour la recherche de la paix a organisé les 17 et 18 octobre 2019 les Journées Commémoratives du jour de naissance du Président Félix Houphouët-Boigny.
Le 18 octobre 2019, il y a eu la messe d’action de grâce en l’Église Saint Augustin de Yamoussoukro à la mémoire du président Félix Houphouët-Boigny. Elle a été officiée par Monseigneur Alexis Touably. Ce dernier a souhaité que « le fondateur de la Côte d’Ivoire moderne » et son « immense œuvre » soient en permanence dans l’esprit du peuple de Côte d’Ivoire à qui il a toujours conseillé de faire de la paix sa seconde religion. « Ne parlons pas du Président Félix Houphouët-Boigny au passé car un homme d’une telle grandeur d’âme ne saurait être ni du passé, ni dépassé. À nous de nous de marcher ensemble sur les chemins qu’il nous a tracés en tant que père fondateur de notre nation », a-t-il conseillé. Il a aussi souligné que « c’est vrai la paix est un don de Dieu mais la paix ne nous viendra pas du Ciel sous forme de produit fini, car la paix est comme un pagne que nous devons tisser ensemble ».
JOURNÉES COMMÉMORATIVES DU JOUR DE NAISSANCE DU PRÉSIDENT FÉLIX HOUPHOUËT-BOIGNY: Journée d’étude sur Félix Houphouët-Boigny
Le jeudi 17 octobre 2019 marquait le début de la commémoration du jour de naissance du président Félix Houphouët-Boigny avec une journée d’étude qui a été meublée par deux panels portant sur les thèmes : « Félix Houphouët-Boigny, l’homme de culture » et « Félix Houphouët-Boigny, le panafricaniste ». Cette opportunité a permis à de nombreux jeunes étudiants de la capitale politique et administrative, ainsi qu’aux populations dans leurs diversités politiques et socioprofessionnelles, de revisiter le actions menées par « l’Apôtre de la paix ».
Le Secrétaire Général de la Fondation FHB a, à son tour, précisé qu’outre la célébration du 114ème anniversaire de la naissance du président Félix Houphouët-Boigny, son institution célébrait en cette année 2019 deux évènements majeurs. À savoir les trentièmes anniversaires du Congrès sur la paix dans l’esprit des hommes tenu à Yamoussoukro qui a vu naître le concept de culture de la paix et de la création du prix Félix Houphouët-Boigny-UNESCO pour la recherche de la paix qui a distingué cette année le premier ministre éthiopien Abiy AHMED ALI avant qu’il ne reçoive le Prix Nobel de la paix 2019.
Mme Anne LEMAISTRE, représentante du bureau UNESCO d’Abidjan a, pour sa part, souhaité que l’année 2020 soit proclamée « l’année de la culture de la paix » en Côte d’Ivoire.
Professeur Robert NIAMKEY KOFFI, président du comité scientifique de cette journée a indiqué que l’exemplarité de la vie d’Houphouët-Boigny apparaît comme un symbole. Car, les immenses œuvres du « père de la nation ivoirienne » constituent des repères pour la Côte d’Ivoire. Abordant les thèmes du jour, l’universitaire a fait savoir à son auditoire que Félix Houphouët-Boigny était à la fois un homme de culture mais également un panafricaniste contrairement à l’image d’Épinal qu’on a voulu lui collée, en le traitant de fossoyeur de l’unité africaine, d’un des artisans de la balkanisation des États africains. Pour lui, cela est essentiellement erroné. Il a relevé également l’étendue de la connaissance du monde moderne, de l’histoire ancienne de ce grand homme d’État.
Onze (11) communications au total ont été prononcées lors de cette journée scientifique par des universitaires.
Il faut indiquer que le Secrétaire Exécutif en chef du PDCI-RDA, Professeur Maurice KAKOU GUIKAHUÉ a rehaussé de sa présence l’ouverture de cette journée d’étude .