\n\t

Rapport sur la Suppression du Travail Forc\u00e9, 30 mars 1946<\/h3>\n

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A l'Assembl\u00e9e Nationale Constituante Fran\u00e7aise<\/p>\n

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\"Le travail forc\u00e9, avec son triste cort\u00e8ge de bas salaires, de s\u00e9vices, de paucinatalit\u00e9, d'exode vers les villes o\u00f9, ce qui est pire, vers les colonies \u00e9trang\u00e8res, cr\u00e9e entre ce qu'il est convenu d'appeler colonis\u00e9s et colonisateurs un foss\u00e9e qui va grandissant et que nous avons ici, tous, le devoir de combler si nous voulons que l'Union fran\u00e7aise soit une r\u00e9alit\u00e9 vivante.\"<\/p>\n<\/blockquote>\n

Hommage \u00e0 son village natal, Yamoussoukro, 3 mai 1956<\/h3>\n

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\"En face de cet arbre que vous voyez l\u00e0-bas, l'arbre des supplici\u00e9s, l'arbre des sacrifices de mes anciens, j'avais pris l'engagement, il y a bient\u00f4t trente ans, \u00e0 ma sortie de l'\u00e9cole, en reconnaissance de tout ce que les Akou\u00e9s ont fait pour moi, d'offrir d'autres sacrifices, le sacrifice d'amour-propre, le sacrifice d'argent, le sacrifice de moi-m\u00eame.\"<\/em><\/p>\n<\/blockquote>\n

Au Stade G\u00e9o Andr\u00e9 (aujourd'hui Stade F\u00e9lix Houphou\u00ebt-Boigny), 7 septembre 1958<\/h3>\n

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\"A ma naissance, on a m\u00eame pens\u00e9 que ma voie serait la pr\u00e9dication comme f\u00e9tichiste, je n'ai pas \u00e9chapp\u00e9 \u00e0 mon destin puisque je pr\u00eache toujours. Et malgr\u00e9 cette origine f\u00e9tichiste, je tiens \u00e0 vous dire, pour justifier certains de mes actes qui d\u00e9routent parfois la masse qui me fait confiance quand je lui parle de politique de main tendue, de non-violence, d'oubli du pass\u00e9: je suis devenu croyant, pas un simple croyant qui se contente le matin et le soir d'aller \u00e0 l'\u00e9glise, et qui passe son temps \u00e0 psalmodier des litanies \u00e0 la louange de Dieu. je suis un croyant. Je me sens si petit, et Dieu sait combien je suis petit. Je suis petit, et mes responsabilit\u00e9s, qui d\u00e9coulent de votre confiance, si grandes! Mes responsabilit\u00e9s vis-\u00e0-vis de I'Afrique, vis-\u00e0-vis de la France, vis-\u00e0-vis de I'Europe, et, peut \u00eatre demain vis-\u00e0-vis du monde, p\u00e8sent lourdement sur mes faibles \u00e9paules.\"<\/em><\/p>\n

\"Chaque jour, dans des moments de m\u00e9ditation, je m'efforce de demander \u00e0 Dieu de m'aider. Je lui dis : Si la confiance des hommes m'impose de telles responsabilit\u00e9s, au niveau desquelles je dois exercer une action, si, dans l'accomplissement de ma lourde t\u00e2che, vous pensez que la force et l'influence qui d\u00e9coulent de la confiance de mes fr\u00e8res m'entraineront \u00e0 commettre des injustices, \u00e0 pi\u00e9tiner le droit des faibles, alors, mon Dieu, faites en sorte que cette confiance disparaisse, que mes responsabilit\u00e9s disparaissent et que je m'en retoume \u00e0 Yamoussoukro, mon petit village, \u00e0 ma petite case.\"<\/em><\/p>\n

\"Hier, l'on disait : Je pr\u00e9f\u00e9rerais \u00eatre le premier dans mon village plut\u00f4t que le second \u00e0 Rome. Aujourd'hui, je vous dis : il vaut mieux \u00eatre le millioni\u00e8me d'un ensemble solide, puissant, riche, \u00e9cout\u00e9 dans le monde, respect\u00e9 dans le monde, seul capable d'assurer par ses moyens puissants le d\u00e9veloppement harmonieux de l'homme, seul capable d'\u00e9lever la condition humaine, que d'\u00eatre le premier dans un \u00e9tat mis\u00e9reux.\"<\/em><\/p>\n<\/blockquote>\n

Conf\u00e9rence de presse \u00e0 Paris, 9 juin 1959<\/h3>\n

\n

\"Ce n'est pas le cadre de l'ind\u00e9pendance qui importe, c'est le contenu : le contenu \u00e9conomique, le contenu social, le contenu humain. Si nous pouvions, de par nos seules ressources, de par nos seuls moyens, assurer \u00e0 l'homme africain le bonheur que nous lui souhaitons, nous aurions choisi, malgr\u00e9 tout ce qui nous attachait \u00e0 la France, l'ind\u00e9pendance nominale ; mais parce que nous avons la conviction que nous ne pourrons assurer le progr\u00e8s r\u00e9el de l'Afrique \u00e0 partir de nos seuls moyens, nous avons pr\u00e9f\u00e9r\u00e9, compte tenu de la loi du si\u00e8cle, de l'interd\u00e9pendance des peuples, nous avons pr\u00e9f\u00e9r\u00e9 nous int\u00e9grer dans un grand ensemble \u00e9conomique et politique, qui est la Communaut\u00e9 Franco-Africaine.\"<\/em><\/p>\n<\/blockquote>\n

A Adzop\u00e9, 24 septembre 1959<\/h3>\n

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\"C'est l'homme qui honore le titre et non le titre qui honore l'homme.\"<\/em><\/p>\n<\/blockquote>\n

Congr\u00e8s Constitutionnel de la jeunesse RDA, mars 1959<\/h3>\n

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\"Jeunes, soyez donc impatients, mais soyez-le de fa\u00e7on raisonn\u00e9e.\"<\/em><\/p>\n<\/blockquote>\n

A Man, 25 janvier 1960<\/h3>\n

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\"J\u2019ai la haine de la haine et je d\u00e9sapprouve toute violence dans les rapports entre les hommes.\"<\/em><\/p>\n<\/blockquote>\n

A l'Assembl\u00e9e Nationale ivoirienne, 15 janvier 1962<\/h3>\n

\n

\"Dans cette C\u00f4te d'Ivoire o\u00f9 est si vive la conscience de la responsabilit\u00e9 de g\u00e9n\u00e9ration en g\u00e9n\u00e9ration, la fiert\u00e9 veut que, chacun de nous laisse, \u00e0 la g\u00e9n\u00e9ration future, davantage qu'il n'a re\u00e7u.\"<\/em><\/p>\n

\"Les condamnations st\u00e9riles, m\u00eame r\u00e9p\u00e9t\u00e9es \u00e0 sati\u00e9t\u00e9, ne rencontrent qu'indiff\u00e9rence aupr\u00e8s de ceux qui ont la folie de dominer le monde.\"<\/em> <\/p>\n<\/blockquote>\n

<\/p>\n

4\u00e8me<\/sup> Congr\u00e8s du PDCI-RDA, 23 septembre 1965<\/h3>\n

\n

\"On peut se tromper, c'est humain, mais il faut se garder de vouloir tromper les autres.\"
\n\"Certes, nous ne sommes pas un pays socialiste, mais notre ambition est de r\u00e9aliser par le travail, dans la discipline librement consentie, dans l'union \u00e9troite du coeur et des esprits, un social des plus hardis.\"<\/em><\/p>\n

\"La guerre n'a jamais rien r\u00e9gl\u00e9 compl\u00e8tement, et qui aujourd'hui la perd, peut esp\u00e9rer la gagner certainement un jour.\"<\/em> <\/p>\n<\/blockquote>\n

A Daloa, 23 janvier 1965<\/h3>\n

\n

\"L'\u00e9conomie ne pouvant \u00eatre la seule mesure de l'homme, sachons int\u00e9grer, \u00e0 part beaucoup plus enti\u00e8re, la culture dans la dynamique du d\u00e9veloppement. Une culture qui soit elle-m\u00eame dialogue et qui, d\u00e9passant les formes classiques d'expression artistique auxquelles la limitent certaines \u00e9lites, sache \u00eatre, \u00e0 tous les niveaux et dans tous les milieux, l'occasion d'un \u00e9lan et d'un profit collectif en m\u00eame temps qu'un \"suppl\u00e9ment d'\u00e2me\" \u00e0 notre croissance.\" <\/em><\/p>\n

\"La C\u00f4te d'Ivoire ne peut pas demeurer une oasis de paix, de stabilit\u00e9, de prosp\u00e9rit\u00e9 au milieu d'un d\u00e9sert d'instabilit\u00e9, de pauvret\u00e9 et de mis\u00e8re. Ce n'est pas l'oasis ivoirienne qui abordera le d\u00e9sert, c'est le d\u00e9sert qui \u00e9touffera l'oasis ivoirienne. Nous voulons aider \u00e0 la r\u00e9alisation de nombreuses oasis de verdure et la cl\u00e9 de notre action c'est l'entente et la tol\u00e9rance: s'entendre avant de s'aimer et savoir se respecter, respect de la souverainet\u00e9 d'autrui. Nous demandons aux autres d'agir de la sorte a notre \u00e9gard.\"<\/em> <\/p>\n<\/blockquote>\n

Message de Nouvel An, 31 d\u00e9cembre 1966 \u00e0 Abidjan<\/h3>\n

\n

\"Nous voulons aller de l'avant, assur\u00e9ment, mais sans, pour autant, renier notre pass\u00e9, sans tourner le dos \u00e0 celles de nos formes de civilisation qui constituent notre originalit\u00e9 et dont le monde a grand besoin, nous le savons.\"<\/em> <\/p>\n<\/blockquote>\n

Voeux du Corps Diplomatique, 1er<\/sup> janvier 1967<\/h3>\n

\n

\"De nos jours, plus sans doute qu\u2019au cours des \u00e9poques successives qu\u2019a travers\u00e9es l\u2019humanit\u00e9, la paix mondiale est indivisible.\"<\/em> <\/p>\n<\/blockquote>\n

Pose de la Premi\u00e8re Pierre de la Cit\u00e9 \"Rivi\u00e9ra\", 7 septembre 1970<\/h3>\n

A Abidjan dans la Commune de Cocody<\/p>\n

\n

\"Un miracle, comme un pari, cela se pr\u00e9pare, cela se conditionne, cela se mesure, cela se d\u00e9cide et cela se r\u00e9alise \u00e0 force de volont\u00e9 et de pers\u00e9v\u00e9rance.\"<\/em> <\/p>\n<\/blockquote>\n

5\u00e8me<\/sup> Congr\u00e8s du PDCI-RDA, 30 octobre 1970<\/h3>\n

\n

\"Ce que veut l'Ivoirien, c'est le partage de la richesse et non de la mis\u00e8re. Et pour ce faire, il doit, avant tout, contribuer \u00e0 cr\u00e9er ces richesses.\"<\/em><\/p>\n

\"Ce que nous voulons, c'est r\u00e9aliser un social des plus hardis. Nous sommes en bonne voie.\"<\/em> <\/p>\n<\/blockquote>\n

Devant le Corps Diplomatique, 1er<\/sup> janvier 1970<\/h3>\n

\n

\"Le dialogue est l\u2019arme des forts et non des faibles, c\u2019est l\u2019arme de ceux qui font passer leurs probl\u00e8mes g\u00e9n\u00e9raux avant les probl\u00e8mes particuliers, avant les questions d\u2019amour propre.\"<\/em><\/p>\n

\"Dans la recherche de la paix, de la vraie paix, de la paix juste et durable on ne doit pas h\u00e9siter un seul instant, \u00e0 recourir, avec obstination au dialogue.\"<\/em> <\/p>\n<\/blockquote>\n

A l'UNESCO \u00e0 Paris en 1970<\/h3>\n

\n

\"La paix, qui a constamment besoin d\u2019exhortations, est une acquisition continue, le plus souvent silencieuse.\"<\/em> <\/p>\n<\/blockquote>\n

F\u00eate Nationale ivoirienne, 7 d\u00e9cembre 1971<\/h3>\n

\n

\"La C\u00f4te d'lvoire est trop harmonieuse et s\u00e9reine, pour que la responsabilit\u00e9 soit prise de d\u00e9truire aveuglement ses beaut\u00e9s naturelles et ses richesses les plus authentiques. L'homme est all\u00e9 sur la lune, mais il ne sait pas encore fabriquer un flamboyant ou un chant d'oiseau. Gardons notre cher pays, d'erreurs irr\u00e9parables qui pourraient, dans l'avenir, l'amener a regretter ses oiseaux et ses arbres.\"<\/em> <\/p>\n<\/blockquote>\n

Au Conseil National, 1er<\/sup> juillet 1971<\/h3>\n

\n

\"Le jour o\u00f9 ceux qui provoquent les guerres devront se trouver en premi\u00e8re ligne, \u00e0 la t\u00eate des hommes qu'ils engagent dans la tourmente, nous verrons certainement moins de guerres sur notre plan\u00e8te. Malheureusement, ceux qui les provoquent n'y participeront pas personnellement, assur\u00e9s d'\u00eatre en s\u00e9curit\u00e9 dans des abris b\u00e9tonn\u00e9s ou loin de la ligne de feu, alors que leurs peuples, arrach\u00e9s \u00e0 leurs paisibles occupations, seront oblig\u00e9s de s\u2019entre-tuer.\"<\/em><\/p>\n

\"C'est une erreur de croire qu'il n'y a pas d'autre alternative que la guerre pour faire dispara\u00eetre l'apartheid, alors que l'on peut et que l'on doit, dans une perspective de paix en Afrique, recourir au dialogue. De toute fa\u00e7on, le dialogue s'imposera un jour, avant ou apr\u00e8s la guerre. Il est infiniment pr\u00e9f\u00e9rable d'y recourir au plus t\u00f4t pour \u00e9viter la guerre qui, je ne le rep\u00e9terai jamais assez, ne r\u00e8gle rien de nos jours.\"<\/em> <\/p>\n<\/blockquote>\n

8\u00e8me<\/sup> Sommet de l'OUA \u00e0 Addis-Ab\u00e9ba, 22 juin 1971<\/h3>\n

\n

\"La paix \u00e0 l'int\u00e9rieur des Etats africains ne doit reposer que sur la justice, la tol\u00e9rance, le dialogue permanent, le respect de la personne humaine et de sa dignit\u00e9, le respect des libert\u00e9s, l'\u00e9galit\u00e9 entre tous les hommes. Mais si l'absence de dialogue signifie le m\u00e9pris de l'homme, la confiscation des libert\u00e9s, les jugements arbitraires, les ex\u00e9cutions sommaires, elle ne peut avoir d'autres cons\u00e9quences que de susciter des oppositions d\u00e9cid\u00e9es \u00e0 tout tenter afin de renverser ces r\u00e9gimes d'oppression.\"<\/em><\/p>\n<\/blockquote>\n

Conf\u00e9rence de presse sur le Dialogue \u00e0 Abidjan, 28 avril 1971<\/h3>\n

\n

\"Nous sommes tous solidaires du m\u00eame destin, du destin de l\u2019Afrique et si nous pouvons mener de front la lutte pour la paix \u00e0 l\u2019int\u00e9rieur de nos pays, la paix entre nos pays, la paix entre nos pays et le reste du monde, alors nous aurons servi l\u2019Afrique.\"<\/em><\/p>\n<\/blockquote>\n

F\u00eate Nationale ivoirienne \u00e0 Odi\u00e9nn\u00e9, 7 d\u00e9cembre 1972<\/h3>\n

\n

\"Il ne faut pas que nous ayons, nous aussi, en C\u00f4te d'Ivoire, notre tiers-monde et nos nantis, car l'injustice et l'\u00e9go\u00efsme des autres n'effaceront pas et ne justifieront pas nos injustices et nos \u00e9go\u00efsmes propres.\"<\/em> <\/p>\n<\/blockquote>\n

S\u00e9minaire du Bureau Politique du PDCI-RDA \u00e0 Yamoussoukro, 12 juin 1973<\/h3>\n

\n

\"Nous n\u2019avons qu\u2019un objet de haine : la guerre, qu\u2019une seule obsession : la paix, la paix des c\u0153urs, la paix sociale, la paix entre les Nations.\"<\/em><\/p>\n<\/blockquote>\n

A Tienko (Nord ivoirien), 13 mai 1974<\/h3>\n

\n

\"On ne combat pas l'exode rural en interdisant l'acc\u00e8s des villes, mais en aidant les jeunes et les adultes \u00e0 avoir sur place un \u00e9gal acc\u00e8s \u00e0 la dignit\u00e9, au bien-\u00eatre, \u00e0 un habit\u00e2t d\u00e9cent, \u00e0 l'\u00e9ducation, \u00e0 la culture, \u00e0 la sant\u00e9, et \u00e0 conna\u00eetre, eux aussi, la joie de vivre.\"<\/em><\/p>\n<\/blockquote>\n

6\u00e8me<\/sup> Congr\u00e8s du PDCI-RDA, 16 octobre 1975<\/h3>\n

\n

\"Si la prosp\u00e9rit\u00e9 n'engendre pas toujours la concorde, le d\u00e9nouement est rarement synonyme de qui\u00e9tude.\"<\/em><\/p>\n<\/blockquote>\n

Message de Nouvel An, 31 d\u00e9cembre 1976 \u00e0 Abidjan<\/h3>\n

\n

\"La saintet\u00e9 du travail ennoblit aussi bien celui qui porte les fardeaux ou conduit de lourdes machines que celui qui, dans le silence feutre des laboratoires ou des bureaux, donne \u00e0 sa t\u00e2che le meilleur de sa pens\u00e9e et de ses soins.\"<\/em><\/p>\n<\/blockquote>\n

Au Conseil \u00c9conomique et Social \u00e0 Abidjan, 30 juin 1976<\/h3>\n

\n

\"La finalit\u00e9 du d\u00e9veloppement n'est pas un \"homo economicus\"<\/strong> d\u00e9sincarne, mais l'homme, dans la rue, dans les champs, dans les usines, dans les bureaux, l'homme dans sa famille\"<\/em><\/p>\n

\"La paix, ce n'est pas un mot, c'est un comportement.\"<\/em><\/p>\n<\/blockquote>\n

F\u00eate Nationale ivoirienne, 7 d\u00e9cembre 1977<\/h3>\n

\n

\"L'homme qui a faim n'est pas un homme libre.\"<\/em><\/p>\n<\/blockquote>\n

Ouverture solennelle en C\u00f4te d'Ivoire de l'Ann\u00e9e Internationale de l'Enfant \u00e0 Abidjan, 27 janvier 1979<\/h3>\n

\n

\"Mon Dieu, o\u00f9 sont les non align\u00e9s qui acceptent les armes des pays sur lesquels ils ne veulent pas \u00eatre align\u00e9s ?\"<\/em><\/p>\n

\"Les fronti\u00e8res sont des cicatrices de l'histoire. M\u00eame les meilleures esth\u00e9ticiennes n'arriveront pas \u00e0 les effacer si facilement.\"<\/em><\/p>\n

\"Don du ciel et en m\u00eame temps charge que nous impose notre condition d'hommes, l'enfant repr\u00e9sente notre capital le plus pr\u00e9cieux, et la soci\u00e9t\u00e9 se doit de le pr\u00e9munir d'abord contre les dangers et les al\u00e9as de la vie. L'enfant d'aujourd'hui est le p\u00e8re ou la m\u00e8re de demain, le responsable futur de notre cit\u00e9. Il importe, en l'entourant d'amour et de compr\u00e9hension, de former son intelligence et sa personnalit\u00e9 \u00e0 assurer ses obligations et \u00e0 accomplir ses devoirs d'adulte. L'avenir de notre soci\u00e9t\u00e9 est donc \u00e0 ce prix, et ses pr\u00e9occupations majeures demeurent un des fondements m\u00eame de notre politique.\"<\/em><\/p>\n<\/blockquote>\n

F\u00eate Nationale ivoirienne \u00e0 Katiola, 7 d\u00e9cembre 1979<\/h3>\n

\n

\"Le vrai bonheur, on ne l'appr\u00e9cie que lorsqu'on l'a perdu.\"<\/em><\/p>\n

\"Il n\u2019y aura pas de paix tant que la force para\u00eetra l\u2019unique recours possible pour d\u00e9nouer des situations intol\u00e9rables.\"<\/em><\/p>\n<\/blockquote>\n

7\u00e8me<\/sup> Congr\u00e8s du PDCI-RDA, 30 septembre 1980<\/h3>\n

\n

\"Souffrez que le croyant que je suis estime que tous ceux qui croient en un seul Dieu se doivent de respecter les diverses voies qu'ils empruntent pour parvenir \u00e0 l'unique Cr\u00e9ateur.\"<\/em><\/p>\n<\/blockquote>\n

7\u00e8me<\/sup> Congr\u00e8s du PDCI-RDA, 29-30 septembre et 1er<\/sup> octobre 1980<\/h3>\n

\n

\"Il est plus facile de faire la guerre que de faire la paix.\"<\/em> <\/p>\n<\/blockquote>\n

Extrait de l'Allocution prononc\u00e9e \u00e0 l'Ouverture du 9\u00e8me<\/sup> Congr\u00e8s du PDCI-RDA, 1er<\/sup> octobre 1990<\/h3>\n

A Yamoussoukro<\/p>\n

\n

\"La Fondation Houphou\u00ebt-Boigny pour la Recherche de la Paix et la Basilique Notre-Dame de la Paix sont toutes les deux, des messages permanents pour les Ivoiriens, tous les Ivoiriens d\u2019origine ou d\u2019adoption, tous les amis de la C\u00f4te d\u2019Ivoire. Un message permanent de paix, paix dans les c\u0153urs et dans les esprits, paix dans les relations humaines quotidiennes, paix devant fortifier le climat de paix qui nous a permis en trente ans, malgr\u00e9 toutes les difficult\u00e9s, malgr\u00e9 les erreurs, c\u2019est humain, de r\u00e9aliser dans tous les domaines des progr\u00e8s sensibles dont nous avons raison, quoi qu\u2019on en dise, d\u2019\u00eatre l\u00e9gitimement fier.\"<\/em><\/p>\n<\/blockquote>\n<\/div>\n<\/div><\/div><\/div><\/div><\/div>","protected":false},"excerpt":{"rendered":"

Rapport sur la Suppression du Travail Forc\u00e9, 30 mars 1946 A l’Assembl\u00e9e Nationale Constituante Fran\u00e7aise “Le travail forc\u00e9, avec son triste cort\u00e8ge de bas salaires, de s\u00e9vices, de paucinatalit\u00e9, d’exode vers les villes o\u00f9, ce qui est pire, vers les colonies \u00e9trang\u00e8res, cr\u00e9e entre ce qu’il est convenu d’appeler colonis\u00e9s et colonisateurs un foss\u00e9e qui va grandissant et que nous […]<\/p>\n","protected":false},"author":1,"featured_media":0,"parent":0,"menu_order":0,"comment_status":"closed","ping_status":"closed","template":"templates\/template-full.php","meta":{"ngg_post_thumbnail":0,"footnotes":""},"class_list":["post-71","page","type-page","status-publish","hentry","post"],"yoast_head":"\n